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Boulleys np de son nom de naissance Njanji Boulleys Pierre Stéphane nait le 20 novembre 1993 à Libreville (Gabon).
Il fait ses études primaires à Yaoundé au groupe scolaire Tabi Nnang avant d’entrée au petit séminaire saint Paul de Mbalmayo, ou il effectue ses trois première années du secondaire.
En classe de 3eme , il rentre au Gabon au petit séminaire saint Jean de Libreville. Après son baccalauréat , il revient à Yaoundé à l’Université catholique d’Afrique centrale pour une formation en philosophie. Là, fort de son expérience de maître de Choeur tour à tour au séminaire saint Paul et saint Jean, il crée en 2014 le groupe de chant LA VOIX DES SERAPHINS, avec le quel il sort un album de 9 titres en 2018 et donc il est le principal auteur compositeur.
Après 5ans à l’UCAC, Boulleys s’envole pour l’Europe dans le but de poursuivre ses études. En mars 2019 il sort son premier single solo Za’a a tate, titre qui lui permet de remporter trois mois plus tard, le prix espoir des Renaissance music Awards (RMA). En Août de la même année, il est nominé aux greenlight Awards, il sort son second titre Révèle-toi.
Sa petite expérience lui permettra de sortir le 6 juin 2020 son troisième single, dans une collaboration, sa première d’ailleurs avec l’artiste Slameuse Lydol sur le titre LA VIE EST BELLE.

Boulleys est un artiste chanteur, auteur compositeur et musicien (piano, balafon, percussion) qui a été. Influencé dans la musiques par des légendes tels que Dina Bel(Cameroun) R. Kelly(USA) Zahara (Afrique du Sud) et Fally Ipupa( RDC)

Le cinéma Camerounais a bien évolué et les acteurs Camerounais encore plus. D’années après années , on ne cesse de faire la découverte des acteurs avec d’énormes potentiels. On comprend mieux pourquoi Serges Belang a la côte en ce moment et cela même dans tout le territoire camerounais .Tellement talentueux au point ou Meamla Media digital le média des stars a décidé de vous le présenter absolument.

Serges Belang est un acteur et conseillé vestimentaire, née le 3 Novembre 1981 à bokito dans le Mbam et Inoubou. Il débute dans l’univers du cinéma africain en 2000 ,
Sa carrière prend une autre tournure lorsqu’il passe au grand écran entre 2013- 2014 . On le retrouve dans la série
cercle vicieux ou il incarne à la perfection le personnage de franky ou encore dans la série Jugement Dernier. Par son professionnalisme , il sera sollicité et prendra par à la réalisation de deux long métrages tels que 2 Avril de Noëlle Kemoe et
Shenanigans de Murielle Blanche.

C’était toujours envoûtant de nous asseoir derrière un petit écran chaque samedi des 19h 30 sur Canal 2 International , pour admirer de la plus belle des manières Serges Belang de son nom populaire Francky dans la série Cercle Vicieux d’Ebenezer Kebompia . Il charmait tout le monde , en ce qui concerne son attitude à s’adapter corps à corps avec son rôle .
Au fil des ans, il s’est fait connaître à travers ses rôles dans une myriade de séries télévisées à succès, telles que : Cercle vicieux ou encore ou Jugement dernier de Elvis Boules

.
Son rôle le plus marquant au petit écran demeurera sans doute celui de Francky « C’est le rôle qu’il a pu explorer durant le plus longtemps. Un beau personnage »

Pour vraiment faire corps avec le personnage au cinéma, Serge n’hésite pas à utiliser des techniques particulières pour être au top.
Déjà conseillé vestimentaire, il ne fait nul doute que Serges est un grand fan de la mode vestimentaire. C’est clairement un homme qui accorde bien de l’importance à l’aspect esthétique et physique et c’est sans doute pour cette raison qu’il participera comme modèle vidéo dans le titre Condition de Mariage de Dj Gera Ben . Par la suite , il accordera son image d’acteur et de conseillé vestimentaire pour des publicité telles que SIDA , COVI-19 organisé par UNICEF , SAAMEA et YHOOME .

À la fois beau et charmant comme un seigneur, son élégance et sa personnalité charismatique n’ont cessé de continuer à le porter haut vers les sommets les plus élevés de l’univers cinématographique Camerounais . Il est dynamique, jeune et révolutionnaire, impressionne et enchante de milliers de personnes à travers le Cameroun grâce à son sens de la responsabilité qui se résume à une véritable éthique professionnelle. Déterminé à écrire sa propre histoire, il donne le meilleur de lui même à chacune de ses apparitions. Tout au long de sa carrière d’acteur de

cinéma , il sera décorer comme meilleure interprétation masculine au festival Komane à Dschang. Un titre honorifique

Courtisé par des grands artistes du continent africain , il s’impose aujourd’hui comme l’artiste au succès le plus retentissant de la nouvelle scène musicale urbaine camerounaise . Sa nouvelle mission : « amener la musique urbaine camerounaise au reste du monde »

Si la route vers le succès est parfois longue pour certains , elle est un véritable raccourci pour d’autres . C’est bien évidemment le cas de Magasco ce jeune qui a su capitaliser les acquis de sa toute première réussite pour conquérir la musique urbaine camerounaise . C’est la nouvelle coqueluche de l’Afro-pop camerounais et particulièrement l’un des artistes préférés des filles qui fondent pour ses chansons si sensuelles et chaudes .

Magasco fait partie de la nouvelle génération d’artistes camerounais qui se meurent à hisser le drapeau camerounais dans le monde . C’est une personnalité qui n’est plus à présenter et un talent incontestable .

C’est un artiste qui se distingue particulièrement par une musique urbaine mélangeant rap et chanson , anglais et français pour répondre au bilinguisme de son pays . Son ascension a été l’aboutissement d’une abnégation et d’un travail méthodique depuis l’enfance .

Née le 22 septembre 1988 à Bamenda , il débute sa carrière en 2009 et c’est en 2012 qu’ il se révèle au public camerounais et depuis lors , il ne fait qu’enchaîner des tubes à succès notamment , Belinda , line Mba , wulu mbang mbang… etc .

A 32 ans , il s’est imposé comme l’artiste au succès le plus retentissant de la nouvelle scène musicale camerounaise voir africaine . Plus d’un seul Dj africain qui puisse se priver des tubes de la star de l’afro pop camerounaise .

« La plupart des pays africains ont ratifié la Convention des Nations unies relative aux droits de l’enfant de 1990, qui établit notamment les règles et conditions d’incarcération des jeunes de moins de 18 ans. ».

Dans le monde entier et en Afrique en particulier, des enfants se morfondent derrière les barreaux, parfois pendant des périodes prolongées. Ils sont exposés dans bien des cas à des brutalités et des conditions inhumaines d’hygiène et de vie.

Le manque de données fiables et la pléthore d’institutions concernées font que le nombre total d’enfants privés de liberté dans le monde n’est pas connu avec précision. Pour sa part, l’UNICEF estime qu’au moins un million d’enfants dans le monde sont dans des geôles. Victimes d’abus et privés d’éducation, beaucoup d’entre eux sont détenus dans des conditions déplorables et dégradantes, coupés de toute activité constructive et du monde extérieur. Inculpée pour des délits allant de simples contraventions à des infractions mineures, la plupart de ces enfants est condamnée à des peines disproportionnées, au grand mépris du droit international en vertu duquel « la détention ou l’emprisonnement d’un enfant doit être en conformité avec la loi, n’être qu’une mesure de dernier ressort, et être d’une durée aussi brève que possible ».

Des délits tels que l’absentéisme, les fugues, les rapports sexuels consensuels, les avortements et des tentatives d’avortement entre autres, ne devraient pas faire l’objet d’emprisonnement. Dire qu’accusés pour ces délits mineurs, les plus chanceux seront jugés comme des adultes et partageront les mêmes cellules que ces derniers. Les plus malchanceux par contre moisiront dans des prisons sans jouir de leur droit à répondre de leurs actes devant une juridiction compétente.

Après une visite menée le 23 octobre 2018 dans plus de neuf établissements pénitentiaires de Madagascar où sont incarcérés des enfants en attente de jugement,Amnesty International a constaté que les conditions de détention y étaient effroyables. Sombres et sales, les cellules pour la plupart étaient extrêmement surpeuplées, ce qui mettait sérieusement en péril le bien-être physique et mental des détenus.